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Issue #3

24 fuseaux horaires en un coup d’œil

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Le garde-temps des voyageurs

L’Heure Universelle de Patek Philippe, également connue des collectionneurs sous le nom de « Worldtime » fait partie, depuis bientôt 80 ans, des complications les plus recherchées.

Dans notre monde globalisé et interconnecté, les montres à Heure Universelle sont plus utiles que jamais. Nous voyageons tout autour de la planète, commerçons sur tous les continents et communiquons en ligne avec des personnes de tous horizons: connaître l’heure locale de chacun de ces lieux est primordial. Les montres à Heure Universelle Patek Philippe remplissent cette tâche de manière particulièrement lisible et efficace, en affichant l’ensemble des 24 fuseaux horaires en une fois.

Heure Universelle 2 Patek 5230
'Heure Universelle 5230' de Patek Philippe.
Heure Universelle 1 Patek 5230
'Heure Universelle 5230' de Patek Philippe.

À la fois complexe et simplissime

L’Heure Universelle référence 5230 doit sa marche précise et son grand confort d’utilisation au calibre manufacture Patek Philippe 240 HU – un mouvement extra-plat à remontage automatique qui a marqué l’histoire de l’horlogerie. Son mécanisme de fuseaux horaires sophistiqué et son système de remontage automatique se doublent d’un mini-rotor, intégré au niveau des ponts. Les finitions du mouvement remplissent également toutes les exigences du Poinçon Patek Philippe. Les ponts sont anglés et ornés de Côtes de Genève; le mini-rotor en or arbore également des Côtes de Genève. La platine est perlée à la main, les rayons des roues en laiton doré sont moulurés et anglés et les gravures sont dorées sur les ponts rhodiés. Un beau spectacle mécanique, visible à travers un fond doté d’un verre saphir.

Découvrir les autres modèles Patek Philippe ici.

Trois raisons d’aller chez Gaston

Gaston 2 Terrasse Credit Lydie Nesvadba
© Lydie Nesvabda

Chiller sur l’une des plus belles places de Bruxelles

Idéalement situé place Sainte-Catherine, le glacier artisanal Gaston est sa terrasse vintage signée Lionel Jadot sont un spot idéal pour faire une pause, à deux rues des artères fourmillantes du centre-ville. Autour de ce long espace jouxtant le béguinage de Bruxelles, de nombreux bâtiments médiévaux ou baroques, dont certains classés, rythment la balade. En points d’orgue qui fascineront les enfants: les deux bassins où se dressent reptiles et autres chimères.

Gaston 3 Artisan Credit Lydie Nesvadba
© Lydie Nesvabda

Travail d’artisan et ingrédients sourcés

À la tête de Gaston, le couple Turan et Lucy Ucar, que l’on connaît du restaurant Gou à Woluwe. Soucieux d’offrir à ses clients l’effet « madeleine de Proust » des bonnes glaces de leur enfance, c’est à Bologne que Turan a suivi une formation d’artisan-glacier durent deux ans. Dans ses créations, on ne trouve que des ingrédients naturels à l’origine irréprochable. E basta!

Gaston 4 Glace Credit Lydie Nesvadba
© Lydie Nesvabda

Créativité et grands classiques

Nostalgiques d’une bonne crème pistache ou framboises ? Ici on va chercher les bons produits à la source : de la crème fermière des Ardennes, des œufs frais, les meilleurs fruits de saison, du chocolat Valhrona, des pistaches d’Iran torréfiées sur place, de la vanille de Madagascar et des noisettes piémontaises. Comme autant de sésames qui convoquent nos souvenirs les plus enfouis! 

Glacier Gaston, 86 quai aux Briques, 1000 Bruxelles, www.glaciergaston.be

Le marché horloger décrypté par Jacques Wittmann

3

Un marché, deux stratégies

Lorsque les grands groupes – Richemont et Swatch Group – ont vu le jour dans les années 90-2000, les acteurs du marché ont eu peur de voir émerger de grands centres de production horlogère mutualisés… et c’est exactement ce qui est arrivé, mais suivant deux stratégies distinctes. D’un côté, le Suisse Nick Hayek a Hayek a bâti son empire sur la Swatch et développé son groupe sur le marché de l’entrée de gamme. Un gros succès commercial qui lui a permis de racheter Oméga ou encore Longines, deux marques de milieu de gamme qu’il a pu traiter comme la Swatch. Ce qui était à leur avantage, car elles ne possédaient pas de manufacture. Nick Hayek a créé des centres de production qui ont fourni les mêmes mouvements aux marques : mêmes mouvements mais boîtiers différents. Cela collait parfaitement à ces horlogers et à leur positionnement. Les choses se sont gâtées lorsqu’il a voulu appliquer sa stratégie à des marques haut de gamme comme Bréguet, et la manufacture Lemania : les collectionneurs et amateurs avertis s’en sont immédiatement rendu compte et s’en sont détournés…

Parallèlement, le groupe Richemont, avec à sa tête Johann Rupert, homme d’affaires sud-africain qui a une vraie vision haut de gamme du marché, a eu l’intelligence de laisser à chacune de ses marques sa manufacture, son indépendance et surtout la possibilité de rester en concurrence les unes avec les autres. Cartier, A.Lange&Söhne, IWC ou encore Jaeger-LeCoultre restent ainsi dans une dynamique de challenge les unes vis-à-vis des autres, ce qui garantit de belles prouesses techniques et esthétiques régulières.

Le plus important reste la transparence : chez Panerai par exemple, les mouvements ne sont pas manufacturés mais produits « in house ». Ils ne sont donc pas le fait d’artisans mais sont conçus, fabriqués et contrôlés à 100% par la marque, qui communique clairement sur ce point. C’est pour moi la limite de l’acceptable en termes d’industrialisation, et c’est un bon compromis, qui marie qualité et confiance.

Investir ou aimer: il faut choisir

Chez Maison De Greef, nous ne suivons pas aveuglément le groupe Richemont bien entendu: nous conservons, comme avec chacun de nos partenaires, un esprit critique et une volonté d’indépendance pugnaces. Nous sommes à ce titre sensibles à l’indépendance des marques horlogères, que nous accueillons en nombre: Patek Philippe, Tudor, Ressence, Zenith… Et nous ne sommes évidemment pas fermés à l’industrialisation, qui a aussi du bon car elle garantit la fiabilité sur le long terme: Rolex par exemple, est très fiable car ses mécanismes sont entièrement industrialisés depuis longtemps. Nous ne sommes pas nostalgiques du passé, il faut vivre avec son temps et voir l’intérêt que l’industrie apporte: le plaisir d’une belle montre, pour laquelle on dépense une certaine somme, c’est aussi de pouvoir l’offrir à son fils ou sa fille en étant certain qu’il ou elle pourra la faire réviser longtemps après.

L’esthétique, la sensation du porté sont importants également: si vous avez un mouvement techniquement génial dans un boîtier peu esthétique, il y a peu de chance qu’il trouve un acheteur ; en revanche un très beau boîtier recelant un mouvement mécanique fiable, même s’il n’est pas manufacturé, sera toujours un bon achat. Le côté investissement et valeur-refuge n’est plus la priorité  aujourd’hui: on achète une belle montre parce qu’on a envie d’une belle montre, point. C’est un peu comme une œuvre d’art: il n’y a plus vraiment de collectionneurs dans l’âme, mais plutôt des investisseurs… je pense qu’à terme, cela risque de détruire l’art lui-même. Dans les années 20-30, les collectionneurs d’art étaient vraiment des esthètes, pas des investisseurs.

Le nouveau critère de qualité n’est plus la manufacture, mais le ’in house’

— Jacques Wittmann

Les marques de niche, challengers inspirants

Il existe bien sûr encore de vrais amoureux de la belle horlogerie artisanale. Les quelques marques d’artisanat haut de gamme sont protégées par le seul fait qu’aujourd’hui, il est quasi impossible d’en lancer une autre. Sauf quelques exceptions: le génial Benoît Mintiens qui confirme la règle avec Ressence en Belgique. Ou encore le Suisse Romain Gauthier par exemple, qui produit 30 à 40 montres par an, avec un niveau de technicité très élevé et des finitions manuelles impossibles à développer à grande échelle; c’est de la niche, quasi un autre monde! Nous suivons attentivement, les rencontrons et les encourageons, car ces petits acteurs, comme dans tous les secteurs, challengent les mastodontes et, parfois, montrent la voie : regardez le bio par exemple. Dans les années 70-80, il était le fait de quelques militants, et aujourd’hui toutes les enseignes de supermarchés ont leur gamme bio.

Ce goût de l’exceptionnel semble d’ailleurs déjà inspirer les grandes marques: cette année, sur les salons SIHH et Base World, Patek Philippe a montré deux petites collections, dont la Nautilus en or gris quantième perpétuel très innovante, qui a rassuré les collectionneurs sur l’expertise de la marque. Chez Panerai on a osé aller contre ce que les  ”panaristi ” voulaient, avec une féminine 38 mm très affirmée, une vraie Panerai à l’ADN fort. Chez A.Lange&Söhne, on a choisi l’exceptionnel avec une triple chronographe rattrapante en série limitée de 100 pièces. C’est un mécanisme très sophistiqué et compliqué, une superbe performance technique. Au quotidien, j’avoue que cela n’est pas très utile, mais ce modèle permet de  montrer le savoir-faire dans son extrême, une prouesse technique fascinante!

Découvrir nos sélections de garde-temps ici.

Serge Litvine, propriétaire de restaurants

Litvine 2

Le temps, pour vous, c'est quoi ?
Un vrai luxe ! Le temps, on le perd éternellement, « j’ai gagné du temps » est d’ailleurs une très mauvaise expression car on ne gagne jamais de temps, on peut juste en perdre un peu moins. Le laps de temps qu’on passe sur terre ne s’éternise pas, c’est une empreinte très importante sur tous nos champs de vie, à la fois maître de tout et relatif. Dans la vie il y a deux choses importantes : la vie-même et le temps.

Litvine Et Chefs Vl By Jon Verhoeft 10 | par © Jon Verhoeft
Au centre, Serge Litvine entouré de ses équipes. Les chefs de ses restaurants bruxellois comptabilisent 6 étoiles Michelin en 2018. © Jon Verhoeft.

Vous êtes plutôt snacking ou basse température ?
Plutôt snacking pour les décisions professionnelles, que je prends en général assez vite. Mais l’idéal est de marier les deux: la basse température pour la douceur, et un rapide snacking pour le croustillant.  

Combien d'heures dans une journée de Serge Litvine ?
Je dors très peu, mes journées durent 16 heures. Je passe ¼ de ma vie en Belgique, ¼ au Luxembourg et le reste… en voyage! En général de petits citytrips de 2-3 jours en Europe, notamment en Italie, et toujours en semaine. Mon voyage le plus long depuis 20 ans n’a duré que 10-12 jours. J’avoue que je ne peux pas m’arrêter complètement de travailler et ne rien faire, le lien avec mon activité professionnelle est un vecteur de santé, un besoin quasi physique. Quand je pars, je suis toujours joignable pour mes collaborateurs mais personne n’abuse, on ne m’appelle qu’en cas d’urgence.

Voitures, art ou montres : j’aime les choses qui ont accompagné mon enfance, avec lesquelles j’ai grandi

— Serge Litvine

Un vrai vintage lover ?
Je collectionne les montres, même si je n’en ai reçu aucune de mon père, qui est collectionneur d’à peu près tout… sauf de montres ! J’en ai une trentaine de valeur, dont certaines offertes à mes enfants. J’ai commencé jeune : à 21 ans j’avais déjà quatre ou cinq montres, que je trouvais jolies ou qui représentaient quelque chose pour moi. Par exemple quand j’ai vu Le Clan des Siciliens, j’étais adolescent et fasciné par Montand, Delon… qui portaient tous, à l’époque, une Tank de Cartier : ça a été mon premier achat, à cause de ces héros qui me fascinaient. Puis je suis passé aux vieilles Rolex des années 60, encore abordables à l’époque. Aujourd’hui j’achète au coup de cœur, mais toujours avec les mêmes critères : souvent des Rolex, certaines Patek Philippe ou Audemars Piguet… des modèles de mon enfance. Pour l’art ou les voitures c’est pareil, je suis attaché à l’art cinétique, à L’École de Paris, aux vieilles voitures. 

Litvine 1

La montre : une vraie coquetterie ?
J’aime les montres, c’est mon seul bijou, je ne porte même pas d’alliance. Mais je ne porte pas d’or, j’aime la discrétion et je trouve que les modèles actuels sont souvent vulgaires, tape-à-l’œil. Moi j’aime qu’une montre ait du vécu et qu’elle soit intemporelle dans son style. Et si mes montres de collection sont en sécurité, j’en change régulièrement, en fonction des circonstances et du bon sens – pas de Rolex à Naples, un modèle étanche à la plage… J’ai aussi des critères de coquetterie : si j’ai un costume bleu, je ne vais pas mettre une montre avec un bracelet en cuir brun ou beige ; c’est pour cela que j’opte souvent pour les sportives, plus faciles à assortir avec leur bracelet en acier, discrètes et chic à la fois.

www.villalorraine.be

Quatre montres pour grands voyageurs : notre sélection

Shopping Tudor

L’heure locale en un clin d’œil

S’il est une fonction nécessaire lors des voyages lointains, c’est bien la GMT, ici logée dans un boîtier Black Bay de 41 mm. Signée Tudor, cette montre s’accessoirise de bracelet tissu, cuir ou acier.

Découvrir notre sélection Tudor.

Shopping Panerai

En apnée?

C’est jusqu’à 300 mètres de profondeur que cette plongeuse vous accompagne. Emblématique de la collection Submersible de Panerai, elle est passée l’an dernier à un diamètre de 42 mm sans rien perdre de son élégance.

Découvrir notre sélection Panerai.

Shopping Iwc

Capitaine, mon Capitaine!

Le voilier ou le yacht se font attendre ? Pourquoi ne pas commencer par peaufiner son look de loup de mer en arborant le plus beau des chronographes ? Dans sa version en or rose, la IWC Yacht Club prend des allures luxueuses tout en conservant son caractère sportif.

Découvrir notre sélection IWC.

Shopping Cartier

Icône, de la ville à la plage

Mythique dans les années 80, la Santos de Cartier revient en force avec ce bracelet interchangeable à l’envi. Pour les nostalgiques, mais aussi les plus pointus en matière d’accessoires.

Découvrir notre sélection Cartier.

170 ans Maison De Greef : The Fire Spark collection

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À bijoux d’exception, processus d’exception

Pour réaliser ces bijoux hors normes, Arnaud Wittmann a fait appel à l’Atelier Sansen&Gangi installé à Liège. Connus pour leur maîtrise de techniques joaillières oubliées ou particulièrement complexes, Cédric Sansen et Olivier Gangi collaborent avec Maison De Greef sur des projets spécifiques. Le processus qui a abouti à la réalisation des pièces uniques The Fire Spark l’est à plus d’un titre.    

Une longue collaboration
Le travail préparatoire, main dans la main entre les deux Maisons, a été particulièrement long puisqu’il s’agissait de faire le moins de concessions possibles entre le projet créatif et les contraintes techniques. Chaque micro-étape a donc fait l’objet de concertation, de discussions et de validation. Cédric Sansen, le chef d’atelier, conscient du niveau exceptionnel attendu, n’hésite pas à parler de «micro-sculpture artistique».

(c) Leslie Artamonow

Un travail du métal à l'ancienne
D’emblée, le choix de l’alliage s’est porté sur un mélange d’or et de palladium, qui apporte un souplesse exceptionnelle et permet d’imprimer au matériau des formes spectaculaires et élégantes en une fois, sans rupture. Les pièces ont été réalisées 100% à la main à partir du lingot mis en forme, alors que la pratique d’aujourd’hui est plutôt de couler le métal dans un moule en cire préalablement réalisé en 3D. C’est un savoir-faire oublié car complexe, mais qui garantit au bijou une plus grande résistance, et de pouvoir être réparé sans limite.

Une mise en forme ultra-technique
Parce qu’ils souhaitaient conserver aux bijoux leurs courbes géométriques très élégantes, l’Atelier et Arnaud Wittmann ont convenu d’utiliser la technique dite «Anticlastic» qui permet d’imprimer des mouvements et pressions spectaculaires au métal, sans le blesser ni devoir produire plusieurs parties à souder ensemble par la suite. Appliquée sur l’alliage or-palladium, cette technique a ainsi permis de mettre en forme le corps de la bague en une seule fois. Une prouesse technique qui requiert une formation spéciale suivie par Cédric Sansen, passionné de savoir-faire particuliers et peu utilisés, car trop complexes ou chronophages.  

Le sertissage, quant à lui, a été réalisé en deux étapes par Olivier Gangi : d’abord les diamants dont certains, cachés dans le bijou comme des trésors désirables, devenaient de ce fait inaccessibles. Puis la pierre centrale, majestueuse.

Dg Program Book Extra
170 ans Maison De Greef: The Fire Spark collection.

Une allure à la fois spectaculaire et parfaitement équilibrée
Alliage plus souple, technique de mise en forme permettant la réalisation de courbes en une seule fois,... les bijoux The Fire Spark sont particulièrement équilibrés et l’on ressent le mouvement qui les traverse d’un seul regard. Le dernier secret ? Les artisans ont intégré les règles du Nombre d’Or aux différents éléments : les «divines proportions» leur ont permis de créer la spirale parfaite de la bague, sans rupture ni angle cassé, ou encore le jeu exceptionnel de courbe et contre-courbe du pendentif.

Une interview du designer Arnaud Wittmann

Au commencement, était la pierre… ?
Lorsque je découvre une pierre pour la première fois, c’est l’émotion qui joue et il se passe parfois quelque chose d’un peu irrationnel entre elle et moi, comme si elle m’appelait ! J’ai également des standards de sélection très élevés : pour la collection The Fire Spark, je cherchais l’exceptionnel : ces grenats mandarins, de la variété spessartite, sont très rares et présentent une couleur orange spécifique, très franche et profonde à la fois. Comme une étincelle qui signe le début d’une ère flamboyante pour nos créations joaillières. La collection se déclinera très bientôt autour de pierres d’autres couleurs. 

La sculpture et l’architecture sont mes principales sources d’inspiration.

— Arnaud Wittmann
Dg Croquis 2
Croquis pour l'anneau The Fire Spark Collection du créateur de bijoux Arnaud Wittmann.

The Fire Spark est une collection très architecturale...
La sculpture et l’architecture sont mes principales sources d’inspiration, je fais beaucoup de recherches en ce sens. Je suis par exemple fasciné par les réalisations de Zaha Hadid, qui défient les lois de l’apesanteur en mariant volumes impressionnants et courbes légères. On retrouve cet esprit dans les lignes que j’ai dessinées pour The Fire Spark, un jeu d’équilibre complexe et très féminin à la fois. 

Prix et informations sur demande.

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The Fire Spark collection d'Arnaud Wittmann pour Maison De Greef.

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Ancrée dans les tendances, la Maison De Greef crée Maison De Greef Magazine, une sélection de thématiques qui reflètent notre univers et vos centres d’intérêts. Dans ce premier numéro, nous vous proposons une immersion dans notre boutique rénovée, une interview de Lionel Rigolet, chef-propriétaire du Comme Chez Soi**, une découverte des coulisses de la fabrication du bracelet-montre Tudor et les quatre raisons de découvrir notre espace exclusif Patek Philippe.